Nous avons cartographié les zones possiblement aurifères, en vue d'une exploitation légale de l'or en Guyane, et remis les cartes ainsi tracées aux pouvoirs publics qui en avaient fait la commande. En effet, alors que, d'ordinaire, les cartes conçues par le BRGM sont immédiatement publiées, nous avons cette fois considéré que, compte tenu de leur nature, et pour éviter qu'elles soient utilisées par des exploitants clandestins, il était préférable qu'elles demeurent confidentielles et ne soient pas rendues publiques avant dix ou trente ans.