Cette réponse ne me satisfait pas tout à fait, car, à la lecture de certains articles évoquant le potentiel en eau douce, superficielle ou souterraine, du département, j'étais persuadé que le BRGM avait déjà réalisé des recherches sur les réserves souterraines de la Guyane, qui seraient de surcroît d'un volume considérable. Encore une fois, serait-il possible que la parole d'expert du Bureau soit entendue par un certain nombre de décideurs ?