Je comprends de vos propos que, depuis son arrivée sur le territoire guyanais, le BRGM n'a pas eu l'opportunité de conduire sur l'eau douce des études aussi poussées que sur les ressources minières, or, bauxite, colombo-tantalite, diamant, etc. J'entends également qu'il existe encore une importante marge de progression en la matière, et que vous avez besoin de moyens humains et technologiques pour dresser une cartographie exploitable lors des projets que nous pourrions élaborer pour la Guyane.