Je constate avec une grande satisfaction que le rapport préconise un renforcement de la traçabilité du mercure et l'interdiction de sa commercialisation, points dont j'avais discuté avec vous, monsieur le rapporteur. À défaut d'avoir un orpaillage légal, il s'agit de le rendre « propre », en tout cas moins toxique pour les populations, en appliquant de manière plus rigoureuse la convention de Minamata.
En outre, la proposition n° 27, « promouvoir un système international de traçabilité de l'or », vise à lutter contre la commercialisation illégale de l'or. Cette approche globale, effectivement assez nouvelle, donne de la force au rapport ; je le voterai des deux mains.