Dans son dernier rapport, le CPT n'a pas constaté de problèmes généraux de violence. En revanche, dans certains établissements, le Comité a enregistré des allégations de mauvais traitements émanant de détenus, notamment s'agissant d'un usage excessif de la force lors d'interventions. Le CPT estime que tous les mauvais traitements de la part des gardiens doivent faire l'objet des procédures appropriées afin d'éviter leur récurrence. Ils sont souvent liés à un nombre insuffisant de personnels, voire à un défaut de formation.
La violence entre les prisonniers ne constitue pas un phénomène généralisé. Pour autant, il existe dans certains établissements et le Comité recommande une vigilance très particulière.