On recense des passerelles à partir du corps des DSP – directeurs des services pénitentiaires – à peu près partout : vers la magistrature, la police, l'hôpital, etc. Les possibilités sont larges et c'est d'ailleurs tout le problème dans la mesure où elles encouragent le départ de nombreux collègues, et où les investissements en termes de formation et d'acclimatation à la pénitentiaire sont perdus. Il convient donc de trouver un juste équilibre entre l'enrichissement de la carrière du cadre et la nécessité de ne pas vider les administrations des personnels dans lesquels elles ont investi.