J'aimerais soulever quelques points supplémentaires.
Le rôle de chef d'établissement est difficile en métropole, mais il l'est plus encore en outre-mer, car il implique davantage d'autonomie compte tenu de la distance avec les services pénitentiaires de l'outre-mer. Les parcours des personnels ayant évolué en outre-mer doivent être reconnus. À titre exemple, dans d'autres administrations, des réductions d'échelon avaient été mises en place après la tenue de postes fonctionnels.
Il existe par ailleurs des difficultés de formation continue des personnels, tant cadres que surveillants, et pour accéder à des sessions de formation en métropole.