Monsieur le rapporteur général, d'habitude, vous êtes honnête intellectuellement mais pas cette fois-ci : je me souviens avoir émis à titre personnel, en présence d'un ministre des sports fort mécontent, un avis défavorable à l'amendement gouvernemental que vous évoquez et qui, en 2014, exonérait d'impôt de nombreuses entreprises.