C'est le principal sujet : les agences régionales de santé participent aux GED mais elles-mêmes n'ont pas forcément la possibilité de nous donner les informations qui nous intéressent et qui relèvent strictement du secret médical. Le fait que telle personne arrête de prendre ses médicaments constitue pour nous un signal de dangerosité justifiant une surveillance accrue.
Concrètement, il faudrait une loi mais je ne sais pas ce que l'on pourrait y mettre : il serait nécessaire d'étudier cela avec les autorités médicales de manière à calibrer le dispositif. Il ne faudrait pas se retrouver avec 40 000 signalements, parce que nous ne saurions pas les gérer. Nous devrons élaborer des propositions sur ce point.