En effet, tout ce qui relève de l'image, à partir de moyens en général exceptionnels qui, bien évidemment, ne sont pas la propriété de la DRM, même si c'est elle qui les utilise en priorité. Si la DGSE a besoin d'images satellitaires, elle en fait la demande et j'y réponds en l'intégrant aux programmations des satellites.
C'est lorsque nous avons des troupes déployées sur le terrain, où se trouvent aussi des agents de la DGSE, que les recouvrements potentiels sont les plus importants. Au Sahel, par exemple, cela implique que la coordination soit plus fine. En général, elle fait l'objet de ce que nous appelons des réunions de coordination avec les services de renseignement, la DGSE, etc. Nous nous réunissons ainsi régulièrement pour faire le point sur notre action de manière à tendre, au-delà de la déconfliction, à la coordination de nos actions. Il s'agit d'unir nos efforts en vue de cet objectif commun qu'est la résolution des problèmes au Sahel.