Jean-François Ferlet, directeur du renseignement militaire (DRM) :
Ce que j'ai dit tout à l'heure, c'est qu'une conversion ne devait pas forcément se traduire par un retrait d'habilitation. En revanche, c'est un signal faible qui sera systématiquement signalé à la DRSD, laquelle effectuera un complément d'enquête.