Tout à fait ! Dans des services où tous les personnels sont soumis à habilitation, c'est un moyen commode de régler ce type de difficulté, mais cela ne règle pas la question de l'évolution d'un agent suspecté de radicalisation et dont le comportement pourra poser problème quel que soit le service où il sera affecté. C'est un sujet important parce que les informations issues des services de renseignement ne peuvent pas être communiquées dans le cadre de telles procédures.