L'armée de terre ne compte aucun cas de personnel radicalisé. En revanche, la DRSD, avec qui nous nous réunissons mensuellement, évoque à chaque réunion les personnes qu'elle suit, en raison de leur entourage – un proche fiché S, par exemple – ou d'un changement d'attitude. Les quelques cas évoqués par mois font l'objet d'une enquête de sécurité et la grande majorité sort de notre « scope », car ils sont considérés comme non radicalisés.
Je n'ai pas de chiffre à vous livrer, mais le phénomène est extrêmement marginal.