À la fois le commandement et la DRSD. Des représentants de la DRSD sont présents dans toutes nos emprises, ainsi que le commandement. Et l'ensemble des situations est suivi au niveau central.
À ce jour, effectivement, moins d'une trentaine de personnes sont suivies. Des personnes qui, pour la grande majorité, n'ont plus fait parler d'elles depuis plusieurs années. Celles que nous suivons avec le plus d'attention sont celles qui ont fait l'objet d'un signalement récent.
Je vous ai cité l'exemple de la jeune femme qui craint les réactions de sa famille parce qu'elle travaille, qui plus est dans une institution militaire. Mais nous sommes loin d'un phénomène de radicalisation, nous n'avons absolument rien à lui reprocher.