De nombreuses raisons peuvent motiver un retrait d'habilitation, et elles ne sont pas forcément liées au changement de comportement d'une personne. Par exemple, si un militaire a une connaissance beaucoup trop approfondie d'un pays à l'est – qui fait parler de lui en ce moment pour un problème d'épidémie –, nous lui retirons son habilitation. Il est donc très difficile de vous donner un chiffre correspondant au nombre de retraits pour suspicion de radicalisation.