Je ne sais pas s'il s'agit d'une question, mais je tenterai d'y répondre.
Monsieur le député, nous avons le même désir de sécurité pour nos concitoyens, ainsi que pour nos collègues qui sont sur le terrain. Je laisserai ma collègue s'exprimer, car elle connaissait Mickaël Harpon et a travaillé à la DDRP, mais sachez que j'ai mené des enquêtes criminelles et envoyé de nombreuses personnes en prison. Or j'espère l'avoir toujours fait sur des faits établis et jamais sur des doutes.
De la même façon, si un policier est soupçonné de radicalisation, comme pour tous les citoyens, l'enquête doit être juste et permettre d'établir les faits. Si les soupçons sont avérés, il doit également être condamné ou radié dans les règles.