La transition est parfaite, car ma première question est relative à cette liste de signaux faibles. Que pensez-vous d'une formalisation de cette liste – le préfet de police l'a récemment évoquée –, qui serait opposable aux agents qui ne signaleraient pas un comportement dont ils auraient connaissance ?
Ma seconde question concerne une plateforme de signalement – je suis arrivé en retard, si la question a déjà été posée, n'y répondez pas, je lirai votre réponse. J'entends bien ce que vous voulez dire en proposant une anonymisation partielle, mais pourquoi le signalement ne pourrait-il pas être traité par un référent, par exemple, plutôt que par la hiérarchie directe ?
Enfin, je vous remercie d'avoir signalé que la radicalisation n'était pas uniquement religieuse, et qu'il convenait de la traiter dans son ensemble. Les radicalisations que nous pouvons rencontrer, en maintien de l'ordre par exemple, ne sont pas exclusivement liées à une religion.