Monsieur le député demandait des propositions concrètes, en voici.
La première est de raccourcir la durée de l'habilitation, et de réaliser des contrôles plus souvent, afin de prendre en compte tout élément nouveau.
La deuxième est de mieux définir la procédure de suspension, avec des processus simples pouvant déboucher sur une décision rapide. Les spécialistes qui traitent les cas de radicalisation sont à l'IGPN, et sont saisis par les directions d'emploi. Je reprendrai la proposition de ma collègue, visant à instaurer des référents en matière de radicalisation – peut-être pas liés à l'IGPN – auxquels les agents qui ont un doute pourraient s'adresser.