J'ai rencontré le cas d'un gendarme adjoint volontaire qui présentait des signes de radicalisation. Il est possible de les capter plus rapidement à l'entrée qu'au cours de la carrière. Le véritable danger vient plutôt des personnes qui sont en cours de carrière et que l'on ne peut pas cribler très régulièrement. Seule la vie en commun permet de détecter des signes de radicalisation.