La première suggestion serait d'instaurer des formations au sein des services administratifs à destination des agents, pour leur permettre de s'informer sur la façon dont on détecte les signaux faibles, sur ce qu'est la dissimulation, ce qu'est un élément ou un comportement suspect. Ces formations permettraient de donner des éléments de compréhension et de contexte aux fonctionnaires.
La deuxième idée serait de créer des référents radicalisation dans les services, c'est-à-dire des personnes qui connaîtraient bien le sujet, à qui l'on pourrait parler, se confier, qui auraient éventuellement des contacts avec les renseignements territoriaux ou la sécurité intérieure et qui pourraient apporter des solutions lorsqu'un collègue viendrait leur faire part de quelque chose.