Si nous avions plus de moyens, nous pourrions évidemment les utiliser. Notre point de préoccupation essentiel à l'Ineris concerne les effectifs. Nous perdons 2 % de nos effectifs, c'est-à-dire dix personnes par an depuis 2013, ce qui commence à faire beaucoup. Notre contrainte essentielle aujourd'hui est celle-là, même si cela ne nous empêche pas d'essayer de garder notre capacité d'expertise en développant un certain nombre de partenariats.
Je pense qu'il est important de continuer à travailler sur les méthodes d'analyse et de mesure mais nous avons dans ce domaine des moyens tout à fait satisfaisants. Nous devons développer nos partenariats avec nos partenaires européens.
Très concrètement, ce qui me manque le plus actuellement pour développer nos capacités d'expertise, ce sont des bras.