Des actions très intéressantes sont menées pour réduire le risque à la source. Nous travaillons pour le futur, mais lorsque nous essayons d'identifier des liens entre les dysfonctionnements environnementaux et les affections cancéreuses, nous payons le poids du passé. Le problème réside dans l'accumulation au cours des décennies de produits polluants dans l'atmosphère et qui se traduit, à un moment ou un autre, par une affection de type cancéreux. Le but de notre travail est de faire en sorte que les générations futures n'aient pas à supporter ce fardeau. Il faut bien l'expliquer dans le débat public. Nous travaillons sur des temps différents.