C'est une étude qui comparera l'exposition des résidents de zones viticoles par rapport à celle des résidents d'autres zones, afin de déterminer s'il y a une différence d'exposition. La force de cette étude est de prendre en compte des données de biosurveillance (prélèvements d'urines et de cheveux) et des prélèvements environnementaux (air intérieur, air ambiant, poussières, etc.). Ces derniers sont difficiles à organiser. C'est une première.