L'exemple du nucléaire ne me paraît pas tout à fait adapté, dans la mesure où il met en jeu des taux d'actualisation qui n'existent pas sur le marché économique et sont totalement fictifs. En fait, très peu d'argent est provisionné et l'on suppute que cela représentera, en 2100, une somme d'argent phénoménale. Nous ne sommes pas tout à fait dans le même cadre.