Il a été identifié, mais malheureusement, il est indiqué dans la loi que l'on doit tenir compte des préférences des candidats. Ceci ne signifie toutefois pas, ainsi que cela a été fort bien souligné dans le rapport de la Cour des comptes, qu'il faille nécessairement considérer l'ordre des voeux pour classer les candidats en licence. Les préférences sont, de toute façon, automatiquement prises en compte par l'algorithme, puisque l'on tente de donner satisfaction au premier voeu du candidat. Il ne fallait donc surtout pas faire intervenir cet élément dans le classement des candidats à une licence. Or, le ministère, la DGESIP en l'occurrence, a souhaité, à la demande de la CPU, que ce critère soit pris en considération, au motif qu'il était écrit dans la loi qu'il fallait tenir compte des préférences des candidats. En tant que techniciens, nous avions alors signalé qu'il s'agissait d'une erreur.