Je voudrais revenir sur le cas des lycéens ayant passé le baccalauréat à l'étranger, dans le réseau de l'AEFE. Ils bénéficiaient jusqu'à présent d'une priorisation, voire même d'un quota dans certaines académies, dans la mesure où ils n'étaient pas inclus dans l'algorithme, car ne pouvant pas être rattachés à une académie donnée. La question se pose effectivement de ces bacs passés dans le réseau de l'AEFE, ou de la Mission laïque à l'étranger. Il est très important, et la médiation y veillera, que ces jeunes retrouvent des conditions normales d'insertion dans l'enseignement supérieur français.