J'entends bien, mais nous avons affaire à une politique particulière qui pèse neuf milliards d'euros, qui rentre chez les gens et sur laquelle le Parlement n'a pas une bonne visibilité, puisqu'elle est gérée par l'exécutif.
Les règles d'audit dont vous parlez existaient-elles avant la révision de la réglementation par M. Darmanin ?