. En vue de faciliter l'acceptation, n'aurait-il pas mieux valu que l'État négocie la préemption des terrains, réalise les études préalables, puis se tourne vers les candidats éventuels et les promoteurs ? N'en déplaise à Mme la rapporteure, la France, c'est une certaine idée de l'État. Depuis deux mille ans, nous sommes un État centralisé. On peut le déplorer mais force est de constater qu'un côté louis-quatorzien reste prégnant dans le substrat français. Une telle préconisation est-elle de nature à améliorer l'acceptabilité ?