Nous les prenons très au sérieux. Nous réunissons des conseils d'administration et des commissions de travail, notamment la « commission exploitation » qui peut traiter ce genre particulier de questions. On cherche à comprendre.
Pour les bovins, des rapports précisent effectivement qu'il n'y a pas de lien démontré entre l'installation des machines et le décès des bovins. Mais c'est une question qu'on examine avec beaucoup d'attention. Le marché français est un marché sur lequel on veut rester, tout comme l'ensemble de la profession. Or, si l'on veut continuer à se déployer, on ne peut pas laisser passer ce genre de choses sans réagir – quand on peut le faire. Ce serait catastrophique. Je pense qu'aujourd'hui, on a atteint le niveau de maturité et de professionnalisme nécessaire de ce point de vue.