J'ai indiqué tout à l'heure que seuls deux pays ont mis en oeuvre la possibilité d'intégrer les externalités négatives, les dispositions relatives à la tarification de l'usage des infrastructures sont, elles, largement mises en oeuvre. En plus de faire mieux en matière d'intégration du coût généré par la pollution ou la congestion, l'aspect le plus important à mes yeux en matière de tarification, c'est que les États membres puissent avoir une marge d'autonomie, car nos systèmes sont très différents. Nous avons en France par exemple le plus large réseau d'autoroutes concédées, par exemple.