Le nucléaire français aujourd'hui, c'est la moitié de la capacité de production en Europe, donc c'est la moitié de la question aussi, dans la perspective de boucler notre scénario neutralité carbone en 2050. On s'aperçoit qu'il y a une hypothèse dans ces scénarios : c'est que la capacité française se maintienne ou que d'autres pays se mettent à développer le nucléaire en compensation de notre effort de diversification.