L'Union européenne a été au rendez-vous en instaurant des mesures de quantitative easing et un plan d'urgence de 540 milliards d'euros. Cela dit, cette crise laissera place à un défaut de solvabilité qui appellera des réponses fortes pour accompagner la reprise.
S'agissant des ménages, quelle est votre position sur les frais bancaires ?
Sur les fonds propres des entreprises, quelle est votre position sur la pertinence du développement d'investissements régionaux, notamment au moyen des fonds de private equity ?
Écartez-vous la création d'une bad bank pour accompagner les entreprises ?