L'épargne des Français a augmenté, passant de 1,5 milliard d'euros en février à 3,8 milliards d'euros en mars. Comment orienter ces flux vers l'économie réelle et vers l'économie française ?
Quel est l'impact de l'hétérogénéité des mesures prises par les pays européens ? La crise a-t-elle conduit à une évolution des débats au sein de l'Autorité européenne des marchés financiers et permis d'avancer vers des positions communes plus fortes ?
Alors que la valorisation de certaines de nos entreprises stratégiques est plus faible, existe-t-il des risques de déstabilisation, notamment par le biais de prises de participation par des États ou par des « fonds vautours » ?