En janvier 2020, je vous interrogeais déjà sur la boucle qui unit le risque bancaire au risque souverain. Selon vous, les risques bancaires avaient été écartés grâce à des mesures micro et macro-prudentielles. Pouvons-nous formuler le même constat pour le risque souverain ? Il ne me semble pas envisageable que la France accroisse le poids de sa dette pour financer davantage de dépenses, surtout dans le contexte actuel. Le risque de taux est-il élevé ou écarté grâce à la politique de taux de la BCE ?