Dès le début de la crise, l'État a été au rendez-vous pour protéger celles et ceux qui font la culture.
Dans un contexte difficile, je tiens à saluer la réactivité et l'inventivité du secteur culturel et audiovisuel. Tous les acteurs ont multiplié les initiatives pour que la culture reste accessible. France 4 en est un bon exemple.
Si la question du maintien de France 4 est posée, elle ne doit pas éclipser une autre question primordiale qui est celle de la définition d'une stratégie globale de l'audiovisuel public dédié à la jeunesse.
Je me félicite par ailleurs de la mise en place d'un régime dérogatoire via le Centre national du cinéma et de l'image animée (CNC). Ce peut être un point de départ pour ouvrir une concertation plus large avec les parties prenantes pour savoir comment garantir l'accès aux œuvres tout en aboutissant à une répartition encore plus juste de la valeur.