Vous recommandez que l'École nationale de la magistrature améliore la formation des futurs magistrats à la problématique terroriste. J'ajouterai qu'il n'y a pas que la formation initiale et qu'il conviendrait de former également les magistrats en exercice.
Concernant la création de places de QER réservées aux femmes détenues pour terrorisme, et notamment pour celles qui reviendraient de la zone irako-syrienne, avez-vous un ordre de grandeur des besoins ?
Vous parlez de mesurer l'efficacité et l'efficience des dispositifs d'évaluation et de prise en charge de la radicalisation : mais à quoi, selon vous, se mesure cette efficacité, et selon quels critères ?
Lorsque vous préconisez la création de nouveaux quartiers d'isolement pour les « revenants », là encore, dans quel ordre de grandeur se situe-t-on ?
Enfin, concernant le suivi des détenus pour terrorisme ou des détenus radicalisés, de quels moyens devrions-nous disposer, et songez-vous à des dispositifs spécifiques ?