En fait, nous devons chaque année provoquer une sérieuse discussion avec l'État, car ce n'est pas lui qui en prendra l'initiative. Elle peut avoir lieu au moment de l'examen des crédits ou du projet de loi de règlement, comme nous l'avons déjà fait lorsque l'État nous a présenté un bilan de l'utilisation des 5 millions d'euros supplémentaires en faveur de la recherche sur les cancers pédiatriques par type d'action. Les outils existent : à nous de les faire vivre. Il y a un groupe d'études sur le cancer à l'Assemblée nationale, qui s'occupe tout particulièrement de cela, et chacun y est le bienvenu.