Quand on examine le texte gouvernemental, la croissance des crédits paraît extrêmement rapide, avec 1,3 milliard d'euros à partir de 2023. Or notre espérance de vie est bornée à 2022 : on peut toujours affirmer que l'on fera croître les moyens dans la future législature, mais bien malin qui peut dire ce qui sortira des prochaines élections ! Il n'est pas très raisonnable de tabler sur des croissances aussi fortes pour la prochaine législature.