Monsieur Frérot, pourriez-vous indiquer à nos commissions quel fut le vote du représentant de l'État, M. Martin Vial, par ailleurs directeur de l'Agence des participations de l'État (APE), lorsque votre conseil d'administration a pris la décision de lancer ce regroupement ? Que pensez-vous de l'affirmation du directeur général de Suez selon laquelle isoler le secteur français de l'eau de ses activités internationales n'est pas viable économiquement ? Envisagez-vous de soumettre le secteur des déchets au même traitement que le secteur de l'eau, c'est-à-dire céder la partie française et conserver la partie internationale ? Enfin, où en êtes-vous s'agissant des demandes d'autorisation que vous devez adresser aux autorités de la concurrence européenne et française ainsi qu'à l'Autorité des marchés financiers (AMF) ?
Monsieur le directeur général de Meridiam, quels sont vos actionnaires et avez-vous les moyens de gérer une telle activité ? Détenez-vous déjà, directement ou indirectement, des actions de Suez et, si oui, combien ?