Vous avez évoqué le montage juridique un peu osé censé sécuriser l'activité eau de Suez en France et qui limite votre capacité à céder vos titres. Avez‑vous l'intention de l'attaquer ?
Les délais sont incroyablement courts pour le monde des affaires : l'offre de Veolia expire demain. Vu l'enjeu, il n'est pas sérieux d'être soumis à de telles contraintes.
Incluez-vous dans la valorisation de vos titres les engagements que pourrait prendre Veolia concernant le maintien des emplois, selon une sorte de garantie de passif inversée ? En effet, la composante humaine est essentielle dans ce dossier.