Que l'on soit travailleur indépendant ou salarié d'une entreprise classique, il s'agit toujours d'une entreprise. Pourquoi certains enfants subiraient-ils une discrimination au motif que leurs parents ne sont pas éligibles à ce crédit d'impôt ? Il s'agit d'une rupture d'égalité manifeste, contre laquelle les associations familiales pourraient déposer une question prioritaire de constitutionnalité. Monsieur le rapporteur, je ne comprends pas votre position. Ces associations demandent au nom de quoi les enfants de leurs membres sont exclus du bénéfice de ce crédit d'impôt. Que leur répondons-nous ?