On connaît la réponse, madame Rabault. Globalement, c'est un milliard d'euros. Quand on examine le détail secteur par secteur, on voit que c'est massivement l'automobile et l'aéronautique qui y perdraient. Est‑ce vraiment l'intérêt de la France ? Si calculer le CIR au niveau du groupe est plus satisfaisant intellectuellement, le faire c'est pénaliser deux des fleurons de l'industrie française.