Depuis l'arrivée de cette majorité, les prélèvements obligatoires ont diminué de 45 milliards d'euros, pour moitié au profit des ménages, et pour moitié au profit des entreprises. Cela a eu un effet dynamique sur la croissance économique et les créations d'emplois – plus de 500 000 – avant la crise.
La question est maintenant celle de la relance. Or l'élément fondamental de cette relance, c'est la confiance. Si nous commençons à dire que nous allons augmenter les impôts pour les plus riches, tout le monde – riche ou pas – pensera qu'il sera touché par les augmentations d'impôts. (Exclamations.) Sans stabilité fiscale, nous entamerons la confiance et nous n'arriverons pas à créer les conditions d'une relance de l'activité économique.