Cela mérite d'autant plus discussion que le reconditionnement des biens est jugé de plus en plus pertinent, le recyclage coûtant évidemment beaucoup plus cher, y compris aux deniers publics. En tenant compte des externalités, la relative non-rentabilité pour les comptes publics doit être examinée de près.
Votre réaction, monsieur le rapporteur général, me semble problématique : on a l'impression que si la majorité parle d'écologie et d'environnement, elle n'est pas au rendez‑vous des actes, ce qui est assez paradoxal.