Il manque, dans notre réflexion, la prise en compte du coût de la tonne de CO2 évité. Pour évaluer une proposition, en la matière, il faudrait rapporter l'économie de CO2 liée à l'usage de la trottinette électrique ou du scooter partagé au coût du dispositif pour le contribuable. Tant qu'on ne saura pas comparer les sources d'énergie – tels l'hydrogène, aujourd'hui à la mode, ou l'électrique, dont on parlait beaucoup il y a cinq ans, pour les véhicules –, on ne pourra pas hiérarchiser les dispositifs fiscaux au regard de leur efficacité.