Deux catégories de véhicules sont touchées. La première inclut les modèles qui ne sont pas très malussés – M. le rapporteur général les a rappelés. Il n'en demeure pas moins que le malus représente une augmentation de leur prix : 300 euros supplémentaires, ce n'est pas rien pour l'achat d'un véhicule.
À l'article 13, on augmentait les factures d'électricité pour certains de nos concitoyens. Certes, ce n'est pas pareil, mais les mêmes personnes peuvent être concernées. Certains n'ont pas d'autres moyens de se déplacer que d'avoir un véhicule : c'est une dépense obligatoire.
La seconde catégorie de véhicules regroupe les grosses cylindrées, avec des malus élevés. J'irai plus loin que M. le président : si ces véhicules sont polluants au point d'être néfastes, il faut les interdire. Nous devons le dire directement aux Français et avoir le courage de nos actes, jusqu'au bout.