C'est la démultiplication des outils et leur éparpillement qui rendent la fiscalité écologique inacceptable. Il faut des dispositifs précis – d'où notre volonté d'avancer sur le bonus-malus et de ne pas démultiplier les outils au service du même objectif.
Je serai beaucoup plus modérée que Charles de Courson sur la Convention citoyenne pour le climat. C'était un exercice démocratique nouveau qui a été demandé, et doit être confronté à la démocratie représentative. La crise de la représentativité nécessite que nous réinventions notre façon de fonctionner. Le Parlement reste bien sûr là pour débattre de ces propositions puisque nous sommes la représentation nationale et ne saurions reprendre mot à mot tout ce qui a été proposé.