Je soutiens, moi aussi, cet amendement.
Le directeur d'Aéroports de Paris nous a indiqué qu'au mieux nous retrouverons notre trafic aérien de passagers en 2024.
J'entends aussi certaines villes, comme Lorient ou Quimper, qui ne sont pas nécessairement des métropoles, s'interroger sur le devenir de leur aéroport. Des menaces pèsent sur un certain nombre de nos outils indispensables en matière d'aménagement du territoire. Aussi faut-il en tenir compte.
J'ai reçu les représentants des agences de voyages de ma région qui me parlent d'une catastrophe absolue. Non seulement ils n'ont plus de chiffre d'affaires puisqu'ils ne vendent plus, mais ils ont été confrontés à des dépenses très importantes lors de la crise puisqu'il a fallu rapatrier nos compatriotes. Comme leurs salariés étaient affectés à cette tâche de rapatriement, ils n'ont pas pu être au chômage partiel.