L'amendement I-CF181 est un peu de repli : à défaut de supprimer le plafond mordant – ce que nous souhaitons ardemment –, il faut à tout le moins limiter la morsure en faisant en sorte que les redevances payées par les usagers aillent au maximum à la politique de l'eau. C'est important, particulièrement dans la phase de la relance, pour soutenir les investissements destinés aux réseaux d'eau potable mais aussi aux politiques d'assainissement qui visent à améliorer la qualité, sur le plan écologique, des milieux aquatiques.