Monsieur le rapporteur général, ça suffit ! Ah, elle est belle, votre politique des territoires. À quoi bon faire de grandes déclarations et annoncer qu'on veut être le Premier ministre des territoires si l'on continue de mener la même politique ? C'est honteux. Charles de Courson a raison de parler d'acharnement. Nous avons besoin des chambres de commerce pour accompagner les entreprises et leurs projets. Il ne s'agit pas de la politique des grandes métropoles, du Grand Paris et compagnie : je vous parle des besogneux qui vont chercher les emplois. Arrêtez de leur faire les poches et maintenez leurs ressources, qui ont déjà été beaucoup ponctionnées ! Voilà l'objet de l'amendement I-CF1268.